dimanche 10 mai 2015

Investir par approche indicielle : Quels produits?

Dans les deux premières parties de cette série, je vous ai présenté le pourquoi et le comment de l’approche indicielle. J’aborde maintenant une dernière mais néamoins importante question : quels sont les choix qui s’offrent à moi?


Je veux commencer! Qu'est-ce que je fais?

Comme je l'ai mentionné, l'approche indicielle comporte plusieurs avantages :

  • Simple : Vous n'avez pas besoin d'investir dans des dizaines de produits différents. Vous pouvez aisément vous construire un portefeuille diversifié avec trois ou quatre produits maximum.
  • Accessible : Vous pouvez monter votre portefeuille de placements dans le confort de foyer. Si vous êtes capables de lire ceci, vous avez déjà tout ce dont vous avez besoin.
  • Facile : Pas de recherche approfondie, de lectures ennuyantes ou de dédales administratifs à naviguer. La plupart des banques et courtiers à escompte ont des sites Internet très faciles d'accès et la création d'un compte requiert certes un peu de temps, mais n'est pas complexe.
  • Adaptée à tous : Que vous soyez étudiant, travailleur ou retraité, vous pouvez vous bâtir un portefeuille de placements adapté à votre profil de risque.

Plusieurs options existent pour démarrer un portefeuille de fonds de placement indiciels. Selon votre niveau de connaissances, votre habileté à faire des transactions par Internet et le capital que vous avez à investir, on peut identifier trois grandes options.


Option 1 - Les portefeuilles de placements intégrés

Pour l'investisseur débutant qui commence à épargner ou encore pour ceux qui veulent commencer lentement et apprendre graduellement, les portefeuilles intégrés sont une très bonne avenue. Ils sont offerts par pratiquement toutes les institutions financières et les firmes de courtage. 

On retrouve dans un portefeuille intégré un ou plusieurs fonds d’investissements, dans une proportion qui correspond au niveau de risque souhaité. (Je vous invite à relire mon billet précédent, en particulier la section sur la répartition des actifs.) Le portefeuille est géré par une équipe de professionnels : vous n’avez qu’à acheter des parts et ils font le reste.

Dans toute la jungle de portefeuilles de placements sur le marché, je vous recommande plus particulièrement les Portefeuilles Tangerine.  Accessibles aux clients de la Banque Tangerine, ils sont bien adaptés pour les gens qui commencent à investir. Les Portefeuilles Tangerine peuvent être détenus dans un compte régulier, un CÉLI ou un REÉR.

Ces portefeuilles ont des frais de gestion inférieurs à ceux d'autres banques (1.07% par année plutôt que 2-3%). Ils sont également rebalancés automatiquement à chaque trimestre : vous n'avez donc même pas à vous en soucier.

Ils se déclinent en cinq variétés :


Les quatre premiers portefeuilles comportent des parts égales d'actions canadiennes, américaines et internationales. Le dernier est consititué à 50% d'actions canadiennes et à 25% d'actions américaines et internationales, respectivement.

Pour commencer à investir, vous n'avez qu'à suivre les étapes suivantes :

  1. Ouvrir un compte-chèque ou un compte d'épargne chez Tangerine et y déposer de l'argent.
  2. Remplir une demande d'ouverture de compte de fonds d'investissement, notamment en remplissant le Profil de l'investisseur pour déterminer le portefeuille qui vous convient.
  3. Acheter des parts du fonds (aucun montant minimal).
  4. (Facultatif) Définir un Programme d'épargne automatique pour acheter des parts du fonds de façon périodique.


Option 2 - Les portefeuilles autogérés de fonds communs de placement

La plupart des banques offrent également des fonds indiciels "à assembler" : chaque fonds suit un seul indice et l'investisseur gère lui-même la répartition des actifs entre les fonds. Il faut alors passer soit par un compte de fonds mutuels (via un conseiller) ou encore par un compte dans leur division de courtage.

Malheureusement, les frais de gestion de ces fonds sont généralement élevés, aux alentours de 2-3%. La banque TD Canada Trust offre cependant une série de fonds indiciels à faible coût, appelée "Série-e", qui peuvent être achetés en ligne et sans frais. Il en existe une panoplie, mais seulement quatre sont suffisants :

  • TDB900 - Fonds indiciel canadien TD - e
  • TDB902 - Fonds indiciel américain TD - e
  • TDB911 - Fonds indiciel international TD - e
  • TDB909 - Fonds indiciel d'obligations canadiennes TD - e


L'investisseur peut ainsi acheter chacun des 4 fonds dans la proportion qui l'intéresse. Par exemple, mon propre portefeuille est composé de 20% d'obligations et de 80% d'actions, distribuées à parts égales entre les 3 premiers fonds. Le portefeuille résultant a un coût annuel de 0.42%, ce qui représente 4.20$ par 1000$ investi. Ces frais sont déduits de la valeur des parts du fonds à chaque année.

Le montant minimal pour acheter chacun des fonds est de 100$. Un portefeuille composé de ces fonds est bien adapté aux gens qui ont quelques centaines à quelques milliers de dollars à investir. Il faut cependant considérer que les comptes non enregistrés, REÉR et REÉÉ peuvent comporter des frais annuels; le compte CÉLI n'en a aucun.

Malheureusement, seuls les clients de TD peuvent acheter ces fonds, soit par un compte de fonds mutuels ou par un compte de courtage à escompte Placements Directs TD. La deuxième option est préférable car les conseillers en fonds mutuels chez TD Canada Trust connaissent peu ce produit ou refusent carrément de le conseiller puisqu'il ne leur rapporte aucune commission.

Également, la tâche de rééquilibrage revient à l'investisseur, contrairement aux fonds Tangerine. Ce n'est cependant pas très compliqué (quelques minutes par années) et surtout, les transactions sont gratuites. Pour acheter des parts dans un fonds, il suffit d'émettre un ordre d'achat en ligne pour un montant ou un nombre de parts donnés. L'achat est alors effectué le lendemain, puisque la valeur du fonds est réévaluée à chaque fin de journée. On peut détenir des parts fractionnaires du fonds, contrairement aux actions qui sont toujours achetées et vendues en nombre entier.

Les fonds indiciels TD Série-e sont le moyen idéal pour les investisseurs novices (et même les plus aguerris) de se composer un portefeuille à peu de frais et facile à gérer.


Option 3 - Les portefeuille autogérés de fonds négociés en Bourse

Pour élaguer encore plus de frais dans son portefeuille, on peut se tourner vers les fonds négociés en Bourse (FNB, ou ETF en anglais pour exchange-traded funds). Les FNB sont gérés comme des fonds communs de placement mais, à la différence de ces derniers, sont achetés comme des actions en Bourse, c'est-à-dire pendant la journée et à un prix qui fluctue selon l'offre et la demande. Chaque achat et chaque vente engendre (généralement) le paiement d'une commission.

Des centaines de FNB existent, des plus simples aux plus complexes, des fonds indiciels aux fonds gérés activement. On peut cependant réduire la liste à quelques candidats, fournis par un des trois gestionnaires les plus importants au Canada, soit Vanguard Canada, iShares et BMO. Leurs fonds sont généralement comparables, à des frais similaires : pour l'investisseur moyen, la différence est négligeable.

L'exemple le plus simple de portefeuille de FNB indiciels, tel que décrit par Dan Bortolotti (Canadian Couch Potato), est constitué des trois fonds suivants :
  • VAB - Canadian Aggregate Bonds Index ETF
  • VCN - FTSE Canada All-Cap Index ETF
  • VXC - FTSE All-World Ex Canada Index ETF

Le premier fonds (VAB) contient des obligations gouvernementales d'excellente qualité. Le second fonds (VCN) suit un indice de compagnies canadiennes, alors que le dernier fonds (VXC) suit un indice de compagnies hors Canada.

Un portefeuille similaire à celui présenté à l’Option 2 aurait des frais de gestion de seulement 0.19%, soit 1.90$ par 1000$ investi. Il existe cependant de plus petits courtiers en ligne qui ont des tarifs avantageux, permettant d'acheter des FNB sans frais. Un exemple de courtier bien reconnu dans le domaine est Questrade.

Pour les investisseurs avancés, il existe également des FNB pour d'autres types d'actifs (immobilier, obligations à court terme, actions de compagnies à petite capitalisation...). Vous pouvez également décider d'acheter des FNB qui sont transigés à la Bourse de New York, en dollars américains, mais les implications financières et fiscales sont importantes. Vous devriez consulter un expert en fiscalité avant de vous lancer dans cette voie.


La saison des REÉR pour 2014 est terminée, mais il n'est pas trop tard pour commencer à épargner pour 2015. Pensez également à tirer profit de votre CÉLI pour réaliser des profits à l'abri de l'impôt, surtout depuis l’augmentation des droits de cotisation 2015 à 10 000$. Il n'est pas nécessaire d'être un économiste de profession pour se bâtir un portefeuille simple et efficace.


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vendredi 1 mai 2015

Bilan mensuel - Mai 2015

Le mois d'avril fut un mois où notre patience a été mise à rude épreuve... À cause de l'hiver qui ne voulait pas finir et du dégel qui se faisait attendre, l'achat du terrain a été mis sur la glace (jeu de mots volontaire). Tout devrait débloquer en mai. Je m'attends à de grosses variations dans mon bilan des prochains mois!

Voici le résultat de mon bilan financier en date du 1er mai 2015. Le graphique est normalisé pour que la valeur du mois dernier (le 1er avril) corresponde à 100%. Le graphique se limite aux derniers 12 mois.

(Cliquez pour agrandir)



J'obtiens donc une variation sur un mois de +1.9%. Depuis le 1er janvier 2015, cela représente une variation de +7.2%.


Ce qui s'est passé dans le mois d'avril
  • Un léger gain dans mon bilan mensuel, malgré deux événements majeurs :
    • Le retour d'impôts
    • L'acompte sur la maison
  • Finalement des négociations rapides ont eu lieu avec le gouvernement pour notre catégorie d'emploi et le statu quo l'a emporté. On a récupéré notre 6%, mais il ne faut pas s'attendre à grand chose pour les prochaines années...
  • Nous avons signé hier les papiers pour nos assurances-vie pour les 20 prochaines années. Nous avons pris des assurances-vie temporaires pour couvrir au moins l'hypothèque au cas où mon conjoint ou moi décèderait.

Ce qui s'en vient en mai
  • Les tests de sol sur notre futur terrain auront lieu la semaine prochaine... On a hâte! Ça va enfin débloquer!
  • Suite à un résultat positif des tests de sol, on pourra enfin aller de l'avant avec l'achat notarié du terrain.
  • On devrait avoir les plans officiels de la maison dans le courant du mois de mai également.
  • Je redeviendrai membre des caisses Desjardins! J'avais fermé tous mes comptes l'an dernier mais je ne pouvais pas prévoir que Desjardins allait nous offrir les meilleures conditions pour notre hypothèque. Comme quoi c'est important de magasiner!


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      dimanche 5 avril 2015

      Investir par approche indicielle : Comment?

      Comme j’en ai discuté dans un billet précédent, l’approche indicielle est une méthode d’investissement que j’apprécie beaucoup. C'est une méthode qui est à la fois simple, accessible, peu coûteuse et adaptée à tous.

      C'est tellement simple comme stratégie qu'on lui a donné un nom très évocateur : le Couch Potato Portfolio. En effet, on n'a besoin de se lever du divan que quelques minutes par année pour gérer ce portefeuille, pour ensuite s'écraser devant la télé et ne plus y penser!


      Qu'est-ce qu'un fonds indiciel, exactement?

      Les chroniqueurs économiques à la télé utilise souvent des phrases comme "Les marchés canadiens ont monté de 1% aujourd'hui" ou encore "Le S&P 500 a perdu 250 points en fin de séance". Mais que diable veulent-ils dire par là?

      Les marchés boursiers sont vastes et diversifiés : des centaines de compagnies y sont inscrites et des millions d'actions sont achetées et vendues toute la journée. Pour simplifier l'évaluation de la performance du marché, on a créé des indicateurs qui agissent comme des portefeuilles contenant des centaines d'actions : ce sont les indices. Ils portent souvent le nom de la firme qui effectue le suivi de sa performance. Par exemple, la firme Standard & Poor compile pour les investisseurs l'indice S&P 500, qui suit l'évolution des 500 compagnies américaines les plus importantes*. L'indice S&P/TSX Composite, quant à lui, regroupe les 250 plus importantes compagnies canadiennes.

      On n'achète pas directement un indice. Les compagnies qui gèrent des fonds commun de placement indiciels cherchent à reproduire la performance des indices en achetant des actions des compagnies qui les composent. Ainsi, quand un investisseur achète une part dans ce fonds, il se retrouve à investir dans tout le marché sous-jacent en même temps, plutôt que dans une ou deux compagnies individuelles.

      (* Par "importance", j'entends ici la capitalisation boursière, qui est le total de ce que cela coûterait pour acheter toutes les actions existantes d'une compagnie.)


      Les frais

      Tous les fonds communs de placements, indiciels ou non, ne sont pas créés égaux. Des frais de gestion sont prélevés à même les actifs du fonds par les banques pour payer leurs employés, la papeterie, les locaux, les frais de transaction... La performance du fonds est ainsi réduite d'autant. 

      Au Canada, la majorité des fonds chargent des frais de transaction de l’ordre de 20$ à 30$ par 1000$ investi.* Les fonds indiciels ne devraient pas coûter aussi cher car leur approche est passive : peu de transactions sont effectuées et on n’a pas à payer beaucoup de gens pour gérer ces fonds.. On se rapproche alors des 10$ par 1000$ en frais de gestion, souvent moins.

      À première vue, ces frais semblent peu élevés. Cependant, sur plusieurs dizaines d'années, la différence devient majeure. Supposons que les marchés sur 30 ans rapportent 8% annuellement. Un fonds à 3% de frais de gestion aura ainsi un rendement de 5%, alors qu'un fonds à 1% de frais de gestion aura un rendement de 7%. Ainsi, 10 000$ investis dans les deux fonds, au bout de 30 ans, auront crû jusqu'à plus de 43 000$ et 76 000$ respectivement. Une grosse différence pour 200$ de frais de gestion de plus!

      (* : Dans le jargon de l’investissement, les frais de gestion sont exprimés en pourcentage. Par exemple, 10$ par 1000$ investi représente 1% de frais de gestion.)


      La diversification

      On dit souvent qu'il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. C'est également vrai en investissement.

      Si je mettais tout mon argent dans les actions d'une seule compagnie, l'avenir de mes économies serait à risque : si la compagnie devait couler, ma retraite coulerait également. Je courrais également la chance de faire un gros coup si elle prenait son envol. Suis-je prêt à tout miser sur le même cheval?

      En répartissant mon avoir entre plusieurs compagnies, je répartis également le risque. Certaines entreprises réussiront mieux que d'autres et je serai content de ne pas avoir tout mis dans celles qui vont mal. Je cours cependant moins la chance de faire d’énormes gains. 

      Il peut également être bon de diversifier ses avoirs selon la géographie. Le Bourse canadienne, par exemple, est majoritairement composée de titres bancaires ou liés aux ressources naturelles. La Bourse américaine offre une plus grande diversité. Ailleurs dans le monde, les marchés émergents (Chine, Inde, etc.) sont en plein essor et peuvent également être de bons placements. Pour ne pas dépendre de la performance des compagnies d'un pays en particulier, il est bon de jouer les globe-trotteurs avec ses actifs. Cependant, il peut être sage de conserver une bonne partie de ses actions dans son propre pays. Cela nous permet de se prémunir contre les variations du dollar canadien par rapport aux autres devises.

      Les fonds indiciels offrent la possibilité d'avoir une excellente diversification, autant sectorielle que géographique.


      La répartition des actifs

      Dans la construction d'un portefeuille de placements, on peut considérer d'autres types d'investissements que les actions. Le plus commun est le placement à revenu fixe. C'est un type de placement généralement sécuritaire qui offre un rendement consistant. On peut penser aux certificats de placement garantis, aux Bons du Trésor ainsi qu'aux obligations. Souvent, les investisseurs vont mettre de l’argent dans les placements à revenus fixe lorsqu’ils ont l’impression que les actions vont baisser. Les baisses de l’un viennent compenser les hausses de l’autre, ce qui tempère les variations de notre portefeuille

      De manière générale, plus notre horizon d'investissement est long, plus notre portefeuille peut comporter d'actions. Également, si nous avons besoin d'un meilleur rendement pour atteindre nos objectifs financiers, on peut augmenter la portion d'actions - en acceptant un risque plus élevé. Enfin, pour les gens qui sont intolérants aux variations importantes dans la valeur de leurs placements, augmenter la portion d'obligations permet réduire l'effet montagnes russes.

      L'important c'est de choisir une répartition d'actifs qui vous permet de dormir la nuit!


      Le rééquilibrage

      Maintenant que nous avons décidé de la répartition de nos actifs et nous avons acheté des parts dans des fonds indiciels qui concordent avec notre plan, qu'est-ce qu'on fait avec tout ça?

      J'ai expliqué au départ que quelques minutes par année étaient suffisantes pour maintenir un portefeuille indiciel. En effet, l'opération de rééquilibrage ne prend pas beaucoup de temps. Une fois par année, on regarde comment nos placements ont évolué et dans quels proportions ils se retrouvent. Par exemple, notre portefeuille débute l’année à 60% en actions et 40% en obligations. Les marchés boursiers performent bien dans les mois qui suivent, amenant la proportion d’actions à 70%. Au moment de rééquilibrer, on vend du côté des actions et/ou on achète du côté des obligations pour ramener les pourcentages à notre répartition initiale.

      Cette méthode systématique a plusieurs avantages. Tout d’abord, le rééquilibrage ne tient pas compte du fait qu’on puisse être attachés à tel ou tel investissement dans notre portefeuille. Ensuite, en achetant les fonds qui ont moins bien performé et en vendant ceux qui ont monté, on se retrouve à "acheter bas, vendre haut", ce qui est la seule façon de faire de l'argent! Finalement, une fois le rééquilibrage effectué, on peut refermer le tout et l'oublier pour une autre année!


      Dans la prochaine partie de cette série, je vous montrerai trois exemples de portefeuilles indiciels. Vous n'aurez qu'à appliquer ces recettes et vous serez sur la voie de la patate de salon!


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      mercredi 1 avril 2015

      Bilan mensuel - Avril 2015

      Désolé de ne pas avoir été assidu sur les mises à jour. Le mois de mars a été très mouvementé. Je tenterai de me rattraper en avril.

      Voici le résultat de mon bilan financier en date du 1er avril 2015. Le graphique est normalisé pour que la valeur du mois dernier (le 1er mars) corresponde à 100%. Le graphique se limite aux derniers 12 mois.

      (Cliquez pour agrandir)

      J'obtiens donc une variation sur un mois de -4.7%. Depuis le 1er janvier 2015, cela représente une variation de +5.2%.


      Ce qui s'est passé dans le mois de mars
      • Nous avons signé les papiers pour le terrain et donné un acompte. Ceci explique la baisse du bilan du mois.
      • Nous avons également signé les papiers pour la construction de la maison Laprise et rencontré le directeur de projet. Ça avance bien!

      Ce qui s'en vient en avril
      • Coupure de salaire d'environ 6% au 1er avril... En espérant que les négocations avec le gouvernement se feront rapidement.
      • Beaucoup d'appels à faire pour la préparation du terrain et pour l'achat de la maison, beaucoup de trucs à penser pour le design de la maison... On ne chômera pas!


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